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2016 et 2017

- Visite 2016
- Visite 2017


Visites de 2016

    Il est vrai que notre association est très dynamique, mais nous n'avons pas encore trouvé de machine à voyager dans le temps.

Pour découvrir de nouvelles visites RDV l'année prochaine.





Visites de 2017

Avril:
Bourdeaux

    Bourdeaux est un village français situé dans le département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.Le vieux village abrite les ruines de deux châteaux du 12ème siècle, ainsi que la Viale. Il a su entretenir et mettre en valeur son patrimoine bâti au fil des siècles

    Suite à la guerre entre les évêques de Die et les seigneurs de Poitiers, le village est regroupé sur la colline de Viale. C'est de cette époque que datent ces deux châteaux qui dominent le village. Le "château inférieur" aux évêques de Die, le "château supérieur" au Comte de Valentinois, Aymar de Poitiers..

Cette guerre prit fin en 1357..

Le château "supérieur" occupait par les Comtes de Valentinois est abandonné et cinq siècles plus tard il conserve encore plusieurs éléments architecturaux. Le château "inférieur" était la propriété des évêques de Die. L'enceinte du village s'est appuyé sur ses murailles. Il reste encore cet immense mur, nommé le "Grand Manteau". Il devait servir à protéger le village du château "supérieur". L épaisseur de la muraille, presque trois mètres, est impressionnante.



    Rendez-vous à l'office du tourisme et nous partons avec notre guide déambuler dans les rues de Bourdeaux et départ par la place de la Chevalerie.


    Cette place est appelée place de l'Egalité sous la Révolution. Un maréchal-ferrant a eu sa forge jusqu'en 1990.

     Nous entrons dans le village médiéval par l'unique porte Nord. Cette porte est l'entrée nord de l'enceinte médiévale de la viale de Bourdeaux. Elle débouche sur une rue en larges escaliers (rue du Coulard) qui emmène vers une deuxième porte appelée "porte de la Chèvre Morte" (expression pour expliquer une charge en travers des épaules). Derrière cette deuxième porte une petite place :"le jeu de paume".

    Nous continuons à monter et nous empruntons une calade ( une calade, désigne en Provence une rue en pente pavée) qui nous nous conduits à la fontaine d" Alberte"





    Cette fontaine était l'un des trois points d'eau du village médiéval et fut jusqu'en 1826 la seule source d'eau potable des habitants de la Viale.

Elle fit l'objet de travaux sous le mandat de Jean-Louis Larivière, maire de l'an II (1792) à l'an IV (1794) de la république, comme en témoigne la pierre gravée encore en place. Chaque année au 15 août pour faire revivre sa légende une fête est organisée.
    Cette ancienne chapelle de confrérie, devenue église paroissiale Notre-Dame de l'Assomption en 1703, fut édifiée sur les fondations d'un édifice du 13 ème siècle.Orientée au sud, son chevet est imbriqué dans les murailles du village. Sa façade pricipale est de la fin du 14 ème siècle. Elle est dotée d'une porte gothique en ogive que surmonte un occulus. Le mur est ouvert par deux fenêtres du 17 ème siècle, voûtées en plein cintre.




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    Après cette visite fort intéressante, avec "deux guides" enfin un guide de l'office du tourisme et un de nos adhérents natif de Bourdeaux qui lui nous a raconté ses souvenirs de jeunesse ainsi que de petites anecdotes !!!!



    Nous voilà maintenant en partance pour visiter un élevage de chèvres et par la même occasion acheter de très bons fromages de chèvres.





    La forêt de Saou est un chaînon montagneux et un massif forestier constitués par un synclinal perché réputé comme l'un des plus hauts d'Europe.

    Puis direction la Forêt de Saoû où nous pensions balader dans les bois mais le temps ne se prêtait pas à la balade. Nous nous sommes contentés de regarder le bâtiment ,l'Auberge des Dauphins qui est en bonne voie pour renaître de ses cendres. Cet établissement bâti en 1928 au cœur de la forêt de Saoû et inspiré du petit Trianon de Versailles, devrait être réhabilité d'ici quelques années en une Maison de site. Le bâtiment était laissé à l'abandon depuis des décennies. Racheté par le département de la Drôme en 2003, il sera mis en valeur sous la forme d'un musée.

    L'ancien restaurant de l'Auberge des Dauphins, qui du temps de son propriétaire Maurice Burrus était classé deux macarons et trois fourchettes au guide Michelin, "va devenir un espace d'exposition permanente de la future maison de site, avec mise en valeur de la forêt de Saoû, de la géologie, de sa biodiversité" explique Bernard Cusenier, chef de projet.





Et voilà encore une bonne journée de passée en compagnie des amis de l'association.
Documents : Office du Tourisme et internet




Visites de 2017

5 octobre:
La Caverne du Pont d'Arc

    Aujourd'hui l'association a décidé de faire une sortie à la Caverne du Pont d'Arc.

    Trois spéléologues ardéchois, Eliette Brunel, Christian Hilaire et Jean-Marie Chauvet, découvrent à l'occasion d'une exploration spéléologique privée, le 18 décembre 1994 une grotte au cœur des Gorges de l'Ardèche. Cette découverte n'est pas dû au hasard mais à l'obstination des ces trois spéléologues depuis de nombreuses années.

    Quelle satisfaction pour ces trois spéléologues après avoir franchi un vaste réseau souterrain long de 500 mètres lorsqu'ils sont arrivés dans la première salle. Elle abrite un millier de dessins vieux de 36.000 ans.

Ne pouvant aller visiter la grotte originale pour la garder intacte il est décidé de construire, une réplique de la grotte dans les Gorges de l'Ardèche. Cette réplique où sont reproduits les dessins s'appelle au début Grotte Chauvet, puis Grotte-Chauvet Pont d'Arc. En janvier 2014 elle prend le nom de Caverne du Pont d'Arc.

    La grotte comporte des empreintes animales (ours, canidé, bouquetins) dont l'étude palé ichnologique permet notamment d'établir des relations prédateurs-proies. Fait rare, une piste d’empreintes de pieds humains correspond à celles d'un enfant d'environ huit ans, mesurant 1,30 m. Le faible rapport longueur (21,4 cm) sur largeur (9,2 cm) du pied évoque plutôt un individu du sexe masculin.

    Les peintures de l'entrée de la cavité sont dessinées avec des pigments minéraux d'ocre rouge, tandis que les peintures du fond de la grotte, plus humide, sont réalisées à l'aide de pigments charbonneux.



    Très impressionnés lorsque nous arrivons en voyant ce "monument" au milieu des bois.



    En attendant la visite de la Caverne du Pont d'Arc, nous commençons par la galerie de l'Aurignal.

    La Galerie de l’Aurignacien (centre de découverte) est le second pôle culturel du site de la Caverne du Pont d’Arc. Complémentaire de l’immersion dans la Caverne, cet espace de 700 m² permettra de mieux comprendre qui étaient ces femmes et hommes qui vivaient sur notre territoire il y a 36 000 ans.

    Accessible librement, la Galerie de l’Aurignacien constitue une plongée dans le quotidien des sociétés de chasseurs-collecteurs. Semi-nomades, les Aurignaciens vivaient en symbiose avec la nature, au milieu d’une mégafaune : mammouths, lions des cavernes, ours, mégacéros, rhinocéros laineux, bisons des steppes…



    Visite intéressante mais un peu frustrante car à l'intérieur de la Caverne il est interdit de prendre des photos.

    Source :
     internet- site de la Caverne du Pont d'Arc.
     internet- www.ardeche.com/sites-naturels/grotte-chauvet-pont-d-arc.

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